la passion du cheval

Publié le par charlimagine

De toutes mes passions, celle qui m'accapare le plus est celle du cheval!

Et oui,  c'est le genre de truc qui vous tombe dessus sans savoir vraiment pourquoi...Personne dans ma famille n'est cavalier...

L'un de mes premiers dessins, passé le stade du gribouillage, représentait un manège de chevaux;

Aussi, bien qu'anecdotique, mon arrière grand père (que je n'ai jamais connu, ni même mon papa) était maquignon, paraît-il qu'il avait une jument qui s'appelait "Charlotte" comme moi!

Allez savoir si tout ça est une affaire de chromosome ou une alchimie inconsciente, toujours est-il que depuis plus de 3 ans, j'assouvis ma passion à plein temps en compagnie de Jazz!

Jazz est donc mon cheval, un mérens. Petit noiraud, bien portant, bien qu'affublé du  titre de "cheval", il a tout du poney...Alors pour contenter tout le monde, je l'inscris dans la catégorie des "bidets"...D'ailleurs, je parle de lui comme étant "mon bon gros bidet"!

Cette bestiole de 500 kg me prend du temps et de l'énergie, mais je ne m'en plains pas, au contraire!... Il est entré dans ma vie en novembre 2002!

Alors pour introduire, cette catégorie "blabla de dadas", je vous laisse les quelques lignes que j'ai écrite en mémoire du jour où Jazz est arrivé chez moi:

Poème équestre

 

 

  Il est des rêves que l’on chérit depuis la plus tendre enfance…Imaginaire, virtuel, fantaisiste, j’ai toujours eu un cheval quelque part en moi.

 

Longuement imaginé,

Pertinemment attendu,

Mon cheval est finalement arrivé…

De chair et d’os,

Respirant le même air que le mien

Mettant fin à mes délires équestres que je croyais vain…

 

Noir comme l’ébène,

Foulant le jardin de mon enfance

Son hennissement fait écho

Dans la fraîcheur automnale

Le fantasme flirte avec la réalité

Mais, là , le rêve est éveillé…

 

Persistance rétinienne

D’une pure beauté

Troublante vision

Que je peux enfin toucher

L’excitation est à son comble

L’euphorie m’emporte  après tant de patience.

 

Aujourd’hui, je ne suis toujours pas réveillée

De ce bonheur inachevé

Coma prolongé

Par tant de grâce et de gaieté.

 

Un mot, un seul

Résume cette ivresse

Emplie de mélodie et d’allégresse

Je vous le livre en mot de passe

Voici la clé de mon paradis :Jazz

Publié dans blabla de dadas

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